En ce 14 juillet, le ministre français des Affaires étrangères a souhaité, une fois de plus, venir au secours des djihadistes en Syrie, actuellement en grande difficulté à Alep, où les forces de l’armée syrienne, appuyées par l’armée russe, sont en passe de les neutraliser. Mais le ministre, probablement émoustillé par son entrevue avec son supérieur hiérarchique John Kerry, s’est quelque peu embrouillé dans son mensonge et a involontairement rendu très claire son intention de faire passer Bachar al-Assad pour un affreux dictateur.